mardi 29 mai 2018

Une appli pour les amoureux des mots

   
   Wattpad est un réseau social créé en novembre 2006 par Allen Lau et Ivan Yuen. C’est une application grâce à laquelle les utilisateurs inscrits peuvent gratuitement lire, écrire ou encore partager des écrits. Les auteurs ne sont pas forcément connus et n’importe qui peut s’inscrire. De plus, il n’y a pas d’âge pour être sur ce site, que ce soit en tant  que lecteur ou en tant qu’auteur.
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   Sur Wattpad, vous pouvez lire des histoires en tout genre comme des fanfictions (fictions mettant en scène une star), des romans policiers, des mangas, des romances… Vous pouvez aussi trouver des livres en cours d’écriture dont ne sont publiés par exemple que certains chapitres. Les écrivains mettent leurs écrits à jour quand ils le souhaitent, ce qui permet au lecteur d’être au cœur du processus de création !

   Les auteurs, à la base inconnus, arrivent parfois à percer et à devenir des écrivains célèbres grâce à l’édition d’une de leurs histoires. Certains se font même parfois débaucher et se voient proposer un contrat directement via l’application ; d’autres décident d’envoyer leur tapuscrit à une maison d’édition et laissent le destin ou la chance décider de l’avenir de leurs écrits. Cependant, tous les auteurs ne font pas appel à une maison d’édition : certains décident de passer par une plateforme internet, comme par exemple « Amazon », pour s’auto-publier.

   En tout cas, une fois de plus, les réseaux sociaux montrent leur capacité à dépasser des  structures existantes, à transcender des cadres institutionnels parfois élitistes et archaïques : le monde de l’édition, d’habitude très fermé et sur un piédestal depuis des décennies, se voit relégué au second plan.

   Alors, si vous aimez écrire mais que vous n’osez pas vous lancer ou si, tout simplement,  vous voulez recevoir des avis sur vos écrits, n’hésitez plus : inscrivez-vous sur ce site, même sous pseudonyme. Et si écrire n’est pas votre ‘’truc’’ mais que vous êtes passionné de lecture, inscrivez-vous aussi : Wattpad est idéal tant pour les apprentis écrivains que pour les dévoreurs de livres et les amoureux des mots ! Cette application originale vous permettra de vous évader du quotidien et d’oublier vos problèmes pendant quelques instants.


Shelcy Bertrand et Marine Beroudiaux, 5GT

lundi 28 mai 2018

Les 4e remontent le temps : visite en Bourgogne



Fin mars, les élèves de 4ème GT de notre école ont mis le cap sur la Bourgogne, une région du centre-est de la France. Durant ce séjour, ils ont eu l’occasion de visiter les châteaux de Saint-Fargeau et de Guédelon, mais aussi la basilique de Vézelay.
À Saint-Fargeau, les élèves se sont promenés dans l’immense parc qui borde le château mais c’est le site de Guédelon qui les a véritablement transportés !
En effet, Guédelon se trouve au cœur de l'Yonne, en Bourgogne, où une cinquantaine d'ouvriers relèvent un défi hors normes : construire aujourd'hui un château fort du XIIIe siècle selon les techniques et avec les matériaux utilisés au Moyen Âge, comme la pierre, le bois, la terre,  le sable, largile … Le site couvre plus de 7 hectares et emploie 70 salariés et beaucoup de bénévoles qui œuvrent dans un but touristique, historique, scientifique, pédagogique mais avant tout humain : cest une folle aventure rendue possible grâce à des passionnés !
Les élèves ont bénéficié d’une visite guidée du site qui leur a permis de comprendre le rôle et les gestes ancestraux des corps de métier nécessaires à un tel chantier, comme des tailleurs de pierre, des forgerons, des charpentiers, des cordonniers, mais aussi des tuiliers. Ces métiers permettent aussi de redécouvrir des techniques de construction écologiques.

Dans la basilique de Vézelay, les élèves ont pu faire le lien avec leur cours d’histoire, en repérant les différentes parties qui composent ce type de bâtiment ainsi que les courants architecturaux.
Mme Williame a fait paniquer les élèves en leur faisant croire qu’ils allaient assister à une messe en latin mais heureusement pour eux, rien de cela ne leur a été imposé !



Suite à ce voyage, je suis allée recueillir les impressions des élèves de 4ème :



Marjorie Guimin, élève de 4GTA :
« Dans l'ensemble, j'ai bien aimé le voyage. L'hôtel était confortable, propre et les repas étaient bons. Le voyage était bien organisé et il y avait une bonne ambiance. Ce que j'ai préféré, c’est la visite du château de Guédelon. C'était très intéressant et surtout très impressionnant d’être dans le contexte du Moyen Age ! Ce qui m'a déplu, c’est le nombre d’heures passées en car pour peu de visites. Malgré tout, je suis très contente d’être allée en Bourgogne, nous avons appris plein de choses ! C'était une belle aventure. »



Bertrand Magonnet, élève de 4GTB :

« Pour moi, ça a été un super séjour ! Les visites étaient intéressantes notamment celle du château de Guédelon, c’était chouette de se mettre dans la peau des constructeurs de l’époque et de découvrir d’anciens métiers. Le mot que je mettrais sur ce voyage est  « joie » et je trouve d’ailleurs que ce serait trop top de le refaire. »
 




 Jean-Benoit Fontaine, élève de 4GTC :
« J’ai bien aimé ce voyage, d’abord parce que l’ambiance était bonne. L’activité que j’ai préférée, c’est la visite du château de Guedelon. Je trouve intéressant de découvrir un château que l’on est en train de construire avec les techniques du Moyen Age. J’ai beaucoup aimé la liberté que les professeurs nous ont laissée durant ce voyage car nous avions du temps pour nous. J’ai moins apprécié le château de Saint-Fargeau car nous n’avons pu visiter que le parc. Le deuxième jour a aussi été un peu gâché par la pluie »



Si tu souhaites des informations supplémentaires sur le site de Guédelon, tu peux toujours surfer sur sa page internet : https://www.guedelon.fr/  


                                                        
 Eléonore Birotti

vendredi 25 mai 2018

Après le secondaire : l’heure des choix...



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Au cours du trimestre dernier, les élèves de 5ème générale ont été invités à l’Institut Notre-Dame de Philippeville à l’occasion d’un rassemblement des écoles de la région. Cette rencontre visait à informer sur le système des études et sur les offres de formation proposées par les universités et hautes écoles. En tant qu’élève de 5GTB, j’ai donc eu l’occasion d’y assister.       

Chaque élève pouvait choisir trois ateliers (gestion du temps, gestion du stress, vie étudiante, orientation). J’ai d’abord suivi la séance plénière sur les types d’études, organisée par les hautes écoles et universités de l’UMons et l’Université catholique de Louvain, puis j’ai participé aux ateliers « orientation » et « vie étudiante ».  Au cours de la séance plénière, j’ai pu constater à quel point l’éventail des possibilités était large une fois obtenu le C.E.S.S (certificat d’enseignement secondaire supérieur) !

 

Que faire en sortant de rhéto ?

L’option que tu as choisie lors de ta 5ème année de secondaire et que tu garderas jusqu’à la fin de ta rhéto peut sûrement te guider vers une filière. Pour autant, ce n’est pas parce que tu as choisi une option que tu es tenu(e) de continuer dans ce domaine : cette voie ne te ferme pas de porte mais t’aide simplement à savoir dans quel type d’études tu serais le plus à l’aise. Un large choix s’offre à toi lorsque tu termines ton année de rhéto dans une filière générale.

Une grande partie des étudiants décident de choisir la voie des études supérieures :

Il faut tout d’abord savoir ce qui différencie la haute école et l’université. Les hautes écoles organisent des formations de type court (un cycle de trois ans : le bachelier professionnalisant) et de type long (un cycle de trois ans : le bachelier de transition, suivi d’un cycle de deux ans, parfois un ou trois : le master). Les universités n’organisent que des types longs.

La majorité des élèves sortant de la filière générale poursuivent des études supérieures. Si tu es dans ce cas, il existe trois types de filières possibles :

  •  Le bachelier qui dure 3 ans (type court) : il consiste en une formation moins théorique que le master, qui s’exerce directement sur le terrain. (3 ANS). --> Haute école
  • Le bachelier + le master qui durent deux ans (type long), une formation essentiellement théorique sauf pour certaines filières (comme médecine). (5 ANS). --> Université                                
  • Le bachelier + le master + le doctorat qui dure 2-3 ans qui conduit à être expert d’une matière. --> Université

Il ne faut pas oublier les autres options possibles quand tu sors de rhéto : 

  • Partir un an à l’étranger pour apprendre des langues avec une organisation comme le Rotary ou le Wep ; ce choix permet de reporter ton choix d’études sans « perdre » un an
  • Se lancer directement dans la vie active, en prenant éventuellement des cours du soir pour continuer à acquérir certaines compétences si tu le souhaites ;
  • Faire carrière dans la police, l’armée, la marine : réussir un test d’admission est obligatoire pour ensuite suivre une formation en interne.
Si tu veux te lancer dans l’enseignement supérieur, voici les différentes pistes qui pourraient t’aider à t’orienter et à trouver ta voie :

Si tu n’es pas certain de ton choix d’études, tu peux aller à la rencontre de professionnels qui t’aideront et répondront à tes questions. Tu peux également tenter de suivre un professionnel quelques jours dans la pratique de son métier. En effet, l'observation sur le terrain apporte souvent plus de réponses que de longues descriptions théoriques.
Tu peux aussi suivre des cours ouverts dans différentes universités ou hautes écoles pour approcher certaines matières, te plonger dans l’ambiance de l’amphithéâtre ou tout simplement prendre conscience du niveau de difficulté. Ces cours ouverts ont lieu généralement à la Toussaint et à Pâques, mais rien ne t’empêche d’aller suivre un cours de ta propre initiative dans l'école de ton choix.  
En outre, des salons comme le SIEP (Service d’Information sur les Etudes et les Professions) sont organisés partout en francophonie et présentent les différents métiers et formations. Ces salons peuvent t’aider à t’orienter vers la formation qui pourrait te convenir ; le CIO (Centre d’information et d’orientation) remplit aussi ce rôle à Louvain-la-Neuve. Le conseil d’orientation t'aidera à prendre connaissance des différents indices dont tu devras tenir compte pour définir ton futur métier. La priorité ? Pouvoir répondre aux questions : " qui suis- je?" et " que voudrais- je devenir ? », autrement dit, te connaître ! En effet, choisir un métier épanouissant implique d'identifier ce qui nous épanouit !
Tu arriveras à mieux te connaitre, par exemple, en fonction de l’activité extra-scolaire que tu exerces, de la matière à l’école que tu préfères... Les jobs étudiants peuvent aussi t’aider car ils te permettent de savoir si tu te sens plus à l’aise seul ou en équipe, dans un travail manuel, ou encore administratif. Cerner tes traits de caractère et ta personnalité est aussi important car l’exercice d’un métier implique la personne en tant qu’être unique et singulier. Etre par exemple têtu ou impatient peut être une force ou un frein selon le métier choisi.
Il existe aussi des tests sur internet ou par formulaire qui te suggèrent une filière en fonction de tes aptitudes ou de tes centres d’intérêts. Attention, il faut parfois se méfier de certains sites et ne pas uniquement se reposer sur ces tests pour prendre ta décision.
Alors, un conseil : ne prends pas à la légère un choix qui déterminera sans doute une bonne partie de ta vie future. Prends le temps de te renseigner et surtout de cerner tes envies et tes besoins. En attendant, motive-toi pour terminer ta rhéto en beauté pour pouvoir ensuite entrer dans l'école de tes rêves, celle qui te préparera à ton futur métier !


Clarisse Cordier 5GTB



Voici les sources qui m’ont aidée à rédiger cet article :

-http://www.helha.be/service/service-social/etudiante-ue-venant-faire-des-etudes-en-belgique/
-https://uclouvain.be/fr/index.html
-http://www.ulb.ac.be/sitemap/ulb/map-vivreulb.html












mardi 22 mai 2018

Une championne de judo à l'ISM



J’ai eu l’opportunité de rencontrer Mélissa Bevington, une élève de 2e année de notre école,championne de Belgique de judo. Je lui ai posé quelques questions afin d'en apprendre un peu plus sur ce sport.

La D-Pesche : Tu es championne de judo. En quoi consiste cette discipline ?
Mélissa : C’est un art martial venu du Japon, qui consiste à immobiliser l’adversaire. Il se pratique à mains nues et en kimono (celui-ci est fermé et maintenu par une ceinture de couleur). Il existe 11 couleurs de ceintures différentes allant du blanc au noir en passant par le jaune, le rouge, … qui s’acquièrent au fur et à mesure de la maîtrise d’un certain nombre de « prises ». Les couleurs correspondent au niveau d’expertise du judoka.
La D-Pesche : A quel âge as-tu commencé le judo ? Pourquoi as-tu choisi ce sport au départ ?
Mélissa : J’ai commencé à l’âge de 6 ans. J’ai découvert ce sport grâce à mon frère qui en faisait déjà, et je me suis dit « Pourquoi pas ? ». C’est à ce moment-là que tout a débuté.
La D-Pesche : Où le pratiques-tu ? Et à quelle fréquence ?
Mélissa : Je pratique ce sport à Couvin, au Couvidôme, deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi, à raison de 4h par semaine.
La D-Pesche : Qu’est ce qui te plaît le plus dans ce sport ? Et qu’est-ce qui te pousse à poursuivre cette pratique ?
Mélissa : Ce qui me plaît le plus dans cette discipline, c’est l’ambiance entre les judokas. Je veux transmettre aux autres ce que j’aime faire et d'ailleurs, mon entraîneur, Daniel Hocquet, m’a déjà proposé de venir l’aider pendant les stages afin d’apporter un soutien aux novices.
La D-Pesche : Quel niveau as-tu atteint ? Quel est ton prochain objectif ?
Mélissa : Actuellement, je suis ceinture marron. Mon prochain objectif est de passer ceinture noire et de participer aux championnats provinciaux, régionaux et au championnat de Belgique de 2019. Evidemment, il faut que je sois qualifiée pour pouvoir y participer.
La D-Pesche : Qu’est-ce qui t’a aidée à arriver à ce niveau de compétition ?
Mélissa :  De la motivation, des entraînements et du temps car il faut se relever de ses blessures ; par exemple, des entorses, des fractures, des ligaments enflammés ou déchirés. Il faut beaucoup de détermination pour dépasser ces difficultés.
La D-Pesche : Comment organises-tu ton temps en combinant ta vie scolaire et la pratique d’un sport de haut niveau ?
Mélissa : Mes entraînements ont lieu le mercredi et le vendredi. Étant donné que le mercredi est une demi-journée, je peux faire mes devoirs avant de partir à l’entrainement et le vendredi, j’ai le week-end pour travailler pour l’école. Quand j’ai des compétitions, en général, je ne participe qu’à un des 2 jours. Donc tout s’est toujours bien combiné jusqu’à présent.
La D-Pesche : Quelles sont les valeurs transmises par le judo ? Et quelles sont les exigences de ce sport ?
Mélissa : Je dirais le respect et la maîtrise de soi. En ce qui me concerne, je suis assez souple et j’ai beaucoup de réflexes : la vitesse, plus que la force, m’aide dans les combats en tant que « poids léger ». Pour les judokas qui combattent  dans la catégorie des poids plus lourds, la force et la tactique sont  plus utiles pour déséquilibrer l’adversaire. Une  autre exigence du judo est d’avoir une grande connaissance de toutes les prises afin d’avoir plusieurs techniques en tête lors des combats, parce que si tu utilises toujours la même prise, tes adversaires vont vite comprendre comment te mettre à terre ! L’endurance est aussi très importante car certains combats peuvent durer assez longtemps.

 Merci, Mélissa, d'avoir pris un peu de temps pour répondre à mes quelques questions. Et bonne chance pour la suite !
 
                                                                                                                          Juliette Antoine, 5GT
             

vendredi 18 mai 2018

Quartier 3 – Destruction totale

Du théâtre qui chamboule !


              Le mardi 20 mars, nous avons fait une sortie culturelle au théâtre Eden à Charleroi. « Quartier 3 – Destruction totale » s’y jouait dans l’après-midi. Nous avons vite compris que cette pièce était, on peut le dire, originale. En effet, les acteurs dirigés, par le metteur en scène Olivier Boudon, jouaient derrière une grande toile sur laquelle étaient projetées des photos satellites de quartiers résidentiels, un cadre d’intrigue à priori paisible et sans histoire… mais cette manière d’occuper la scène donnait une impression de film en 3 D qui projetait en réalité le spectateur dans une ambiance étrange et dérangeante.


            Cette pièce est la première de la célèbre auteure américaine Jennifer Haley à être adaptée au théâtre en français.  Ecrit comme un thriller, ce script raconte l’histoire fictive d’un groupe d’ados habitant dans une riche banlieue des Etats-Unis. Ils se sont tous pris de passion pour le jeu vidéo « Quartier 3 » qui va les amener à confondre la vraie vie et la fiction des jeux vidéo.

           Sur scène, quatre acteurs jouent 16 personnages. La pièce est écrite pour que chacun joue plusieurs rôles, ce qui ajoute encore de la confusion. Le déroulement de l’histoire fait penser à un thriller ou à un film… On ressent une tension, les transitions sont recherchées et très visuelles, sans parler de la chute digne d’un roman à suspens de Stephen King !
 En effet, c’est la dernière scène qui donne la clef nécessaire au spectateur pour construire le schéma de la pièce et en comprendre les rouages et les subtilités, même si,  finalement, c’est à lui de choisir quelle interprétation il peut tirer de cette histoire.

           Cette pièce m’a fait penser à la célèbre série télévisée britannique « Black Mirror », produite par Netflix en 2016, que j’adore. Axée aussi sur l’impact qu’ont les nouvelles technologies sur notre société, le titre « miroir noir » fait référence aux écrans de téléphones ou d’ordinateurs qui renvoient notre reflet. C’est donc par cette sombre métaphore que l’on comprend comment le réalisateur voit notre futur parfois très proche. L’ambiance dérangeante mais prenante contribue à ce pessimisme.

          Destruction totale est une bonne façon d’exploiter les règles du théâtre en rendant ce média plus accrocheur et contemporain. La pièce nous permet aussi de prendre conscience de la place que les technologies ont dans notre quotidien et à quel point elles ont modifié notre mode de vie, nos comportements. « Le jeu est la symbolique de notre imaginaire peu contrôlé ». (Olivier Boudon, interviewé par « Demandez le programme ! »)


Attention, Quartier 3 sera de nouveau à l’affiche au théâtre Eden à Charleroi la saison prochaine alors, troquez votre télé pour des tickets de théâtre !






Lucie Pierret

Le plus grand Melting Pot de styles au monde !

      Il y a deux mois, plus précisément durant les weekends du 12 et du 19 avril, a eu lieu le festival Coachella.   Drôle de nom, n’est-...