mardi 28 novembre 2017

Primaire VS Secondaire



En ce début de cursus, nous avons interviewé des élèves de première année, pour voir comment ils vivent leurs premiers pas dans leur nouvelle école, pourquoi    ils ont choisi l’Institut Sainte-Marie comme école secondaire et quels changements les ont le plus marqués par rapport à l’école primaire.

Voici le résultat de cette enquête :

Le choix de l’école est fortement influencé par la proximité de l’établissement. En effet, de nombreux élèves habitent le grand Couvin, mais l’école accueille également des élèves de la région de Chimay et de la frontière française. Cependant la présence de frères ou de sœurs au sein de l’école justifie souvent l’inscription d’un nouvel élève.                                                                                                                                 

Presque tous les élèves disent se sentir bien, grâce à une ambiance conviviale et à une bonne aide à l’intégration. Cela peut s’expliquer notamment par l’accueil des premières par les rhétos le premier jour et par l’école citoyenne qui organise des activités pour le premier degré et ce, dés le début de l’année scolaire. Beaucoup ont souligné le fait qu’ils s’étaient fait de nouveaux amis.

Les  différences les plus citées par les élèves sont le changement de professeurs pour chaque matière, le nombre d’élèves dans l’établissement, la durée des récréations qui est raccourcie et le fait de prendre le bus seul.

En conclusion, on constate que les élèves se sont bien intégrés et que le passage de l’école primaire à l’école secondaire leur a permis d’être plus autonomes et épanouis.

                                                                                                   Pierre Nicolas 5GT.

mardi 21 novembre 2017

« Dys-moi » tout sur les troubles de l’apprentissage !

   Aujourd’hui, plus de 85.000 élèves en Fédération Wallonie-Bruxelles vivent tous les jours des difficultés dues à des troubles d’apprentissage. Il s’agit donc d’un problème répandu et nous avons pensé qu’il était important de vous donner quelques informations à ce sujet. Nous allons donc vous expliquer ce qu’est un trouble de l’apprentissage, comment le détecter, à qui faire appel si vous ou l’un de vos proches en êtes sujets,… 


 Quelle est la différence entre troubles et difficultés de l'apprentissage ?

  
    Les difficultés d'apprentissage sont généralement passagères et en lien avec les difficultés sociales, familiales ou encore économiques que l’on peut traverser (deuil, anxiété, dettes,...). Plus vite elles sont identifiées et prises en charge, mieux elles permettront de mettre en place des solutions pour la poursuite de l’apprentissage.

   En revanche, les troubles d'apprentissage sont permanents, d'origine la plupart du temps neurologique et portent atteinte au langage, à l'attention, à la lecture, à l'écriture, à l'automatisation du geste, à la pensée mathématique... ils sont donc des handicaps, qu’il faut pouvoir apprivoiser.

   Un trouble de l'apprentissage n'est pas causé par une déficience intellectuelle, ni par un déficit sensoriel(déficience auditive et/ou visuelle, partielle ou totale, transitoire ou durable, limitant ainsi la communication avec autrui et la perception des informations.), un manque de motivation,un manque d'encadrement scolaire ou une situation économique difficile. Le trouble peut être présent depuis la naissance (de manière génétique, congénitale,...) ou il peut être acquis (par lésion cérébrale suite à un accident de la vie par exemple).


 Les troubles d'apprentissage

      
     Les troubles d'apprentissage qui reviennent le plus souvent sont les 6 troubles « dys » ainsi que le TDA/H.

   Les 6 troubles « dys » sont : la dyslexie, la dyscalculie, la dysphasie, la dyspraxie, la dysorthographie et la dysgraphie. Le préfixe« dys » signifiant « difficulté », la deuxième partie du terme désignant la fonction atteinte par le trouble.

  Chacun des troubles de l'apprentissage touche spécifiquement une des compétences principales que sont, rappelons-le : la lecture, l’attention, les mathématiques, la gestuelle, l’écriture, la compréhension,… Il peut perturber l'apprentissage, les relations et la vie de tous les jours. 

  S’ils ne sont pas pris en charge, les troubles d'apprentissage peuvent induire un échec scolaire et/ou professionnel. 

                                Les différents troubles : 

  •  La dyslexie:

    la dyslexie est une difficulté durable d'apprentissage de la lecture et d'acquisition de son automatisme, chez des enfants intelligents, normalement scolarisés, indemnes de troubles sensoriels et de troubles psychologiques préexistants. 

   
   Par exemple,on inverse et on confond de lettres, de syllabes ou de mots (entre le « p » et le « b » ou entre le « b » et le « d »), on fait mauvaise interprétation des phrases et mauvais découpage (ex: un jénéral). 

  •  La dysorthographie:

      la dysorthographie est une difficulté dans l'apprentissage de l'orthographe qui est généralement défini par une lecture lente,irrégulière et maladroite ou par une difficulté à appliquer les règles orthographiques.
  
  Par exemple, l’on fait un découpage anarchique des mots « unabit » pour « un habit » ;on transforme, inverse ou fait disparaître certains sons, lettres ou syllabes. Par exemple, on écrit« fagile »ou « vragile » pour « fragile ».

  •  La dysphasie:


   la dysphasie est un retard du développement du langage chez l’enfant. Cela touche plusieurs composantes du langage

   
    Par exemple: la compréhension, la production des sons, la construction des phrases, le vocabulaire. 

  • La dyspraxie:


     la dyspraxie provoque de la difficulté dans la coordination gestuelle.Les dyspraxiques sont pathologiquement maladroits : ils se cognent, ils tombent, ils renversent, ils cassent, ils ont du mal à manger proprement car le maniement des couverts est compliqué pour eux, ils renversent leur verre, ils ont des difficultés à s’habiller,…

    
    Par exemple : ils vont enfiler leurs vêtements à l’envers.

  •   La dyscalculie:


   la dyscalculie est un trouble qui provoque des difficultés dans l’apprentissage du calcul, des mathématiques. 

   
   Par exemple,le dyscalculique n’arrive pas à se repérer dans l’espace, à réaliser des calculs mathématiques.

  •   La dysgraphie:


   la dysgraphie est un trouble qui entraîne une lenteur importante dans la réalisation des productions graphiques et écrites, ou une malformation des lettres.

  
  Par exemple,le trait est de mauvaise qualité, inégal dans sa texture, trop appuyé ou trop léger, ou parfois les deux à la fois, il y a des retouches et/ou des pochages (lettres emplies d'encre : e, a, o),…  

  • Le TDA/H: 

   le TDA/H est le trouble du déficit de l’attention avec (TDAH) ou sans (TDA) hyperactivité est un trouble qui se caractérise par des difficultés de l’attention et/ou d’hyperactivité. 


   Par exemple, chez l’enfant, il y a des difficultés à rester organisé, à se souvenir d’une instruction, à attendre son tour. Il saute perpétuellement d’une activité à l’autre, il égare ses affaires, il gigote et se tortille constamment, il a également du mal à rester assis,… Ce sont des facteurs très compliqués à gérer surtout pour les professeurs ou pour ceux qui ne sont pas former pour des cas d’hyperactivités. 

  
   Remarque : Un trouble « dys » vient rarement seul. Environ 40% des personnes concernées par un trouble « dys » présentent plusieurs troubles de l’apprentissage. On appelle cela les multi-dys et/ou les troubles associés. Ainsi, une dyslexie est souvent associée à une dysorthographie ; une dyspraxie va souvent de pair avec une dysgraphie ; toutes les combinaisons sont possibles faisant ainsi de chaque personne « dys »quelqu’un d’unique. 


 Diagnostic - À qui faire appel ?

   
     Le diagnostic est indispensable pour savoir ce dont la personne « dys » aura réellement besoin pour compenser son trouble. Il est important de savoir exactement à qui s’adresser car le temps entre les premiers signes et le diagnostic exact et complet est très long et la démarche peut être difficile car il faut faire beaucoup d’examens, voir beaucoup de médecins pour enfin avoir une réponse. 

   Pour obtenir un bon diagnostic il faut faire appel à des spécialistes différents selon la nature du trouble (neuropédiatre, neuropsychologue, logopède,…). Par exemple, la dyscalculie, la dysorthographie et la dyslexie peuvent être diagnostiquées par un logopède tandis que la personne la mieux qualifiée pour faire le diagnostic d’une dysphasie, d’une dysgraphie, d’une dyspraxie ou d’un TDA/H est un neuropédiatre ou un neuropsychologue. 

   En cas de suspicions de troubles multi-dys, il est plus que conseillé de s’adresser à un milieu privé, hospitalier ou multidisciplinaire. Cela permettra d’obtenir un bilan multidisciplinaire qui aidera à étudier l’enfant ou l’adulte dans sa globalité et qui servira également au neuropédiatre/ neuropsychologue d’établir le diagnostic complet et précis. 

   En conclusion, les troubles de l’apprentissage sont des handicaps qu’on ne peut guérir mais qu’il faut détecter au plus vite afin de pourvoir mieux les apprivoiser. S’il n’existe pas d’étude statistique précise à ce sujet, nous savons tout de même que le pourcentage d’individus « dys » en Belgique est plus élevé aujourd’hui qu’il y a vingt ans, ce qui s’explique par le fait que les méthodes de détection des troubles sont de plus en plus performantes.

   Cependant, être atteint d’un trouble de l’apprentissage ne veut pas dire être incapable de réaliser de grandes choses ou de concrétiser ses rêves. Des personnalités marquantes comme Albert Einstein, Léonard De Vinci, Tom Cruise ou encore Walt Disney étaient dyslexiques, cela ne les a pourtant pas empêchés de marquer l’Histoire… Alors ne cessez jamais de croire en vos rêves ! 

                                                                                  
Shelcy Bertrand et Marine Beroudiaux, 5GT.

vendredi 17 novembre 2017

L’attentat de Las Vegas remet-il en question le port d’armes, légal aux USA ?

Les récents attentats aux Etats-Unis sont-ils significativement facilités par le second amendement¹ ?

Le lundi 2 octobre 2017, un attentat a eu lieu à Las Vegas, faisant des dizaines de victimes et plus de cinq cents blessés.

Le deuxième amendement a-t-il un rapport avec certains de ces attentats ?


Pendant les trois jours précédant le drame, Stephen Paddock reste cloisonné dans sa suite d’un hôtel de Las Vegas. Il a disposé des caméras dans le couloir, et sur la table de son roomservice. C’est lorsqu’il se met à forer un mur pour y placer une autre caméra que l’alarme de l’hôtel se déclenche. Alerté, un agent de sécurité se dirige vers la chambre de Paddock mais le gardien reçoit deux balles à la cuisse. Six minutes plus tard, l’auteur commence son massacre : de la fenêtre de sa suite, il mitraille les spectateurs du concert qui se déroule en bas de son immeuble.
Après dix minutes, Stephen Paddock se suicide en ne laissant aucune indication sur sa motivation.

Stephen Paddock avait-il le profil d’un tueur ?

L’auteur de cet évènement tragique est un Américain de 64 ans sans passé judiciaire. L’homme en question était fortuné et était un joueur de poker assidu, il fréquentait quotidiennement les casinos dans lesquels il passait parfois jusque 14 heures par jour. Hormis un caractère impulsif et son faible pour l’alcool, si l’on en croit ses fréquentations, l’homme était un citoyen à peu près ordinaire. Il était au-dessus de tout soupçon.

Dès lors, comment expliquer cet évènement ?

Bien que l’Etat islamique ait revendiqué ce massacre, cette piste reste fortement improbable. Il faut peut-être davantage se pencher sur le rôle joué par le lobby² des armes aux Etats-Unis pour comprendre comment un tel massacre a pu être préparé dans une telle impunité.
La « National Rifle Association » est une association au but non lucratif créée en 1871 qui est en tête du lobby pro-armes à Washington. Elle a été fondée pour protéger les droits des propriétaires de fusils, et elle est dirigée par Chris Cox. Stephen Paddock avait acheté beaucoup d’armes à feu en prévision de son attentat et toutes ses démarches avaient été faites légalement.
Pour une majorité d’Américains, pouvoir posséder une arme à feu légalement est essentiel à leur défense, alors que pour d’autres, à l’instar de ce que pense l’Europe, ce droit est juste la cause de milliers de morts et de blessés. Chaque année, environ 11000 personnes sont victimes de meurtres par armes à feu aux Etats-Unis, et 70000 personnes sont blessées.

Qu’en pense le président Donald Trump ?

Contrairement à Barack Obama, qui lui, dénonce l’emprise de la NRA sur le port d’armes légal, Donald Trump a reçu pour être élu, le soutien de l’association et un appui financier de taille. Le président américain ne cache pas sa sympathie pour cette immense puissance économique et son attachement profond au deuxième amendement. Il critique même Hillary Clinton dans son opposition aux armes à feu. Il l’a d’ailleurs surnommée « Hillary-la-crapule » car elle a tenté de faire passer un projet de loi contre les armes à feu.

Que pensent les Américains des armes à feu ?

90% des Américains se prononcent en faveur du contrôle des antécédents pour les acheteurs d’armes à feu. Par exemple, l’auteur de l’attentat du 6 novembre avait déjà été condamné pour violence conjugale. En principe, cet antécédent aurait dû lui restreindre l’accès aux armes.
En conclusion, la National Rifle Association a sûrement favorisé cet acte commis par Stephen Paddock parce qu’elle est extrêmement puissante. Barack Obama a tenté, durant son mandat, de durcir la législation sur les armes à feu malheureusement Donald Trump a fait capoter ce projet.
Certains politiques (des démocrates) tentent depuis des années de faire appliquer un contrôle plus strict sur la vente d’armes mais l’Américain « moyen » est attaché à son revolver. Il s’agit donc de faire changer les mentalités, ce qui est difficile, prend du temps et n’est possible que par l’éducation et le dialogue ; c’est à ce prix que l’Amérique conservatrice pro-peine de mort et pro-armes à feu acceptera peut-être un jour de rengainer son arme pour la laisser définitivement au vestiaire...

¹ Le deuxième amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique garantit pour tout citoyen américain le droit de porter des armes.
² Le lobby désigne un réseau de personnes créé pour promouvoir et défendre les intérêts privés d'un groupe donné en exerçant des pressions ou influences sur des personnes ou institutions publiques détentrices de pouvoir.
 Clarisse Cordier 5gtb

Les différentes sources qui m’ont aidée à réaliser cet article :

-http://www.liberation.fr/planete/2017/10/02/las-vegas-ce-que-l-on-sait-de-la-tuerie_1600336 -https://fr.wikipedia.org/wiki/Lobby
-http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/08/12/pourquoi-le-lobby-des-armes-est-il-si- puissant-aux-etats-unis_4981862_4355770.html
-http://www.rfi.fr/ameriques/20160105-obama-le-lobby-armes-peut-pas-prendre-amerique-otage
-https://fr.wikipedia.org/wiki/National_Rifle_Association
-https://www.tdg.ch/monde/trump-rendezvous-lobby-armes/story/16944832 -http://www.lci.fr/international/tuerie-de-las-vegas-accro-au-poker-radin-sous-medicaments- nouvelles-revelations-sur-stephen-paddock-2066883.html

mercredi 15 novembre 2017

Visite à Namur : Tite Live, un auteur très moderne !

J’entends souvent dire que le latin est considéré comme une langue morte… Eh bien pas tant que cela ! Aujourd’hui encore, le latin est utilisé dans le langage de tous les jours. Effectivement, de nombreux mots français sont dérivés du cette langue, « mère » du français, de l’italien, de l’espagnol, et d’autres langues romanes. De plus, le latin est toujours enseigné dans les écoles secondaires, ce qui démontre qu’il reste indispensable parce qu’il apporte des bases solides à notre formation. D’ailleurs, on organise même encore des expositions en l’honneur de ses grands représentants ! Pour preuve, celle sur Tite Live, un grand auteur du 1er siècle après Jésus-Christ, qui se tenait à Namur et que nous avons visitée, le 21 septembre dernier. 
 On doit à Tite-Live de nombreux textes, que nous avons eu l’occasion de traduire au cours de latin de Madame Daix, comme le récit le plus connu de la légende
de Romulus et Remus. Tout au long de cette visite, notre guide, un professeur de la faculté de lettres de l’Université de Namur passionné par son sujet, a réussi à faire d’intéressants parallèles entre Tite-Live et des auteurs plus proches de nous, comme Montesquieu et La Fontaine (auteurs du XVIIème siècle) qui s’en sont inspirés. Cette présentation de Tite-Live nous a permis de mieux connaître sa vie et son œuvre. La majorité d’entre nous, élèves de 5ème et 6ème générales, avons été captivés par tout ce que nous avons appris ce jour-là. À la suite de cette exposition, nous avons fait une visite archéologique dans le cœur de Namur, au cours de laquelle nous avons eu l’opportunité de découvrir un peu plus l’histoire de la ville et de déguster une délicieuse glace ! 😉 
 Cette journée a combiné agréablement enrichissement culturel, dépaysement et convivialité ! Eléonore Birotti, 5GTA

mardi 14 novembre 2017

Ne ratez pas l'événement du weekend à l'Institut Sainte-Marie de Pesche : la deuxième édition du jogging de Pesche organisé par les élèves de Latin !





Les élèves de 5ème et 6ème générales ont visité la base de Florennes !

La base de Florennes fête ses 70 ans !

A l’occasion du septantième anniversaire de la base militaire de Florennes, une journée portes ouvertes y était organisée durant la deuxième semaine de septembre. Évènement mémorable auquel les élèves de cinquième et sixième générales de l’Institut Sainte Marie ont eu la chance d’être conviés.

Cette manifestation consistait en une visite de la base et de ses infrastructures bien sûr. Mais elle impliquait aussi la découverte des nouvelles technologies dans le domaine de l’aviation militaire et une sensibilisation des jeunes aux métiers de l’armée, visiblement en pénurie ces dernières années. Pour ce faire, différents stands étaient présentés çà et là sur les lieux. Durant cette journée, les élèves ont pu, notamment, approcher les célèbres F-16 belges et échanger avec les mécaniciens qui en assurent la maintenance. Un modèle opérationnel nous a été présenté avec son équipement armé complet et par la suite, un soldat nous a exposé les différentes armes composant l’arsenal de guerre des unités d’infanterie belges.

Pour clôturer cette journée, notre Sergent-guide nous a fait découvrir le musée Spitfire qui comporte un hangar où sont entreposés des avions qu’il aime qualifier « d’appareils obsolètes ».

Pénétrer dans l’enceinte de cet aérodrome militaire créé par l’armée allemande pendant le deuxième conflit mondial et toujours en activité, fut un moment rare et enrichissant, une première pour la plupart d’entre nous.

Merci encore aux professeurs qui nous ont permis de vivre cette belle expérience.

Grégoire Barranco, 28/09/2017

Découvrez la suite du reportage photo de Grégoire en 
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